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jeudi 10 février 2005

Loïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïc !!!! 

Non, rien, c’est juste que lundi soir, je suis allée à un mini concert de Loïc Lantoine au Triptyque, organisé par RFI pour l’émission «La bande passante».
J’avais gagné deux places, du coup, j’ai amené Pissipotin, un vieux copain de moi. Je lui avais fait écouter un live de Loïc il y a quelques mois, et il avait quand même assez détesté (ce qui est pas très étonnant quand on sait ce qu’il écoute, hinhin)
Donc lui, il venait pour Louis Bertignac, qui était invité aussi.

On a eu Joseph d’Anvers en 1ère partie, un bien gentil garçon, ça mange pas de pain.
Et puis après, hop, Loïc. Il a coupé ses cheveux (comme Vincent M. d’ailleurs, je sais pas ce que c’est que cette manie ridicule de merde), et moi, les cheveux courts, j’aime pas tellement.
Il a chanté "Je renais", "Badaboum", "Je cours", "A l’attaque", "Majid", "Nny", "Je t’écris d’à côté de toi", et je crois que c’est tout. C’est un peu frustrant de pas avoir eu « Mon côté punk », mais on va pas se plaindre, un orgasme comme ça, c’est pas tous les jours.

C’est pas un guignol, mon Loïc, même dans "Le Monde" y z’y disent:
« Cet adaptateur de textes de Gaston Couté et Jules Supervielle évoque parfois Ferré, la théâtralité de Brel ou le rocker bruxellois Arno, pour cette façon quasi punk de transcender sa timidité. »

J’imagine que Loïc aura conquis quelques personnes parmi les fans de Bertignac (qui sont, au passage, des petits bourgeois abrutis), mais il a visiblement conquis Pissipo, qui se foutra plus de mon fanatisme. Voilà, j’ai de bons goûts, va falloir s’y faire.

Du coup, j’ai pris ma place pour retourner le voir mercredi prochain à la Maroquinerie, j’en bave d’avance.

Après tout ça, on se rend bien compte que Bertignac, c’est de la merde en branches.
Comme je disais à Jopo, à la gratte, y’a rien à dire, mais dès qu’il ouvre sa bouche, t’as envie de t’arracher les tympans à mains nues. Alors on s’est barrés après le premier titre, t’façon, moi, quand j’avais 12 ans et que j’écoutais Téléphone, c’était de Richard Kolinka dont j’étais amoureuse.

A part ça, cette espèce de fou de Jopo m’a offert un cadeau : le coffret de l’intégrale "Les Hauts de Bashung". Etant donné que ce truc, c’était un peu pour moi comme le Saint-Graal, inutile de dire à quel point je suis contente, alors merci mon Jopoto, mille fois merci.

Voilà, c’est tout. Ah si, hier j’ai découvert que Vincent M. était homo. Les boules.
Et ce soir j’ai découvert que finalement non, il l’était pas.

Les boules.


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