BLOGULEUX

C’est quand on passe des soirées comme celle de lundi qu’on se dit que la vie c’est parfois pas mal.
Et quand en plus on se rend compte en arrivant que c’est Christophe Miossec qui fait la première partie d’Alain, là, on se dit carrément qu’elle est bien faite, la vie.
Avoir entendu « Je m’en vais », en live, me permet de la classer définitivement avec « La nuit je mens » (je le jure, j’ai pas versé une larme lundi soir) et « Les écorchés » dans mon palmarès de les meilleures chansons de le monde entier de toute la planète.

On était tellement devant, que plus près, on était sur la scène, on n’a donc pas regretté les heures d’attente devant la salle (même avec les deux blaireaux fans de Duran Duran et Depeche Mode (et à peu près tout je crois), qui ont fait tout du long www.mylife.com derrière nous).
Voilà. Ca doit être comme ça le Paradis. Un concert de Bashung à une fréquence d’environ tous les soirs.





Sinon, un jour, je veux bien me réincarner en Geoffrey Burton (le mec de dos au fond derrière Alain).
Ou en sa guitare.

Je viens encore de me faire réveiller à 8 heures du matin par le téléphone. Comment on peut se dire ma copine et OSER me téléphoner à cette heure là un samedi?
En plus je suis dégoutée, dans mon rêve, Kelly Jones avait presque fini de repeindre le mur de mon séjour. Je saurai jamais ce qu'il avait prévu de faire après...

Imaginez moi ça avec un pinceau dans les mains:


Machine, je te maudis.

Le CD et le DVD sont sortis mardi. Ca tourne en boucle chez moi depuis, et c'est vachement plus stimulant que de se tripoter sur un blog.

Voilà pourquoi je me contente d'attendre le 14 juin. Le reste m'importe peu.