dimanche 7 décembre 2003
A toi, le fâcheux
Deux ans que tu m'emmerdes. Deux ans, c'est long, et ma patience a des limites. Aujourd'hui, tu m'emmerdes par personne interposée, en sachant que pour moi ça sera pire.
Je ne m'excuserai pas de ne pas t'aimer.
Les projets que tu avais pour moi, avec toi, tu peux te tamponner l'urètre avec, ça ne m'intéressait pas, ça ne m'intéresse pas, ça ne m'intéressera jamais.
Que ça soit bien clair entre nous, tu n'es rien, tu n'as aucun droit sur moi, ni aucun avis à donner.
Peut-être que gris clair sur gris foncé tu le comprendras mieux:
IL N'Y A JAMAIS RIEN EU ENTRE TOI ET MOI, et je préfère encore m'arracher un bras moi-même plutôt que ça n'arrive.
Je ne prends pas la peine de te l'écrire par mail, d'une part parce que je ne veux plus provoquer le moindre contact avec toi, d'autre part parce je ne suis pas inquiète, tu me trouveras ici comme tu as réussi à me trouver partout ailleurs.
Tout ça prouve simplement que malgré tes promesses, mon amitié ne t'intéressait pas.
Ta tristesse, je pouvais la comprendre, ton fiel, tu peux t'étouffer avec.
Je ne m'excuserai pas de ne pas t'aimer.
Les projets que tu avais pour moi, avec toi, tu peux te tamponner l'urètre avec, ça ne m'intéressait pas, ça ne m'intéresse pas, ça ne m'intéressera jamais.
Que ça soit bien clair entre nous, tu n'es rien, tu n'as aucun droit sur moi, ni aucun avis à donner.
Peut-être que gris clair sur gris foncé tu le comprendras mieux:
IL N'Y A JAMAIS RIEN EU ENTRE TOI ET MOI, et je préfère encore m'arracher un bras moi-même plutôt que ça n'arrive.
Je ne prends pas la peine de te l'écrire par mail, d'une part parce que je ne veux plus provoquer le moindre contact avec toi, d'autre part parce je ne suis pas inquiète, tu me trouveras ici comme tu as réussi à me trouver partout ailleurs.
Tout ça prouve simplement que malgré tes promesses, mon amitié ne t'intéressait pas.
Ta tristesse, je pouvais la comprendre, ton fiel, tu peux t'étouffer avec.