samedi 6 octobre 2007
J'crache mes poumons comme au Téléthon
C’est bien sympa la vie de couple, mais ça laisse plus tellement de temps pour faire le post mensuel.
Mon bien-aimé s’étant absenté pour descendre les poubelles (opération qui lui prend au bas mot 45 minutes, sachant que le local prévu à cet effet lui rappelle invariablement qu’il a pas dit bonjour au patron du bar d’en bas aujourd’hui), j’en profite donc pour écrire 3 mots que vous apprécierez à leur juste valeur.
Ma vie sociale a été réduite à néant par une bronchite qui m’a fait glavioter vert pendant 1 mois, et, comme j’ai contaminé mon Bob l’éponge adoré, nous avons glavioté vert en choeur, c’était romantique, ça nous a beaucoup rapprochés.
Mercredi soir, comme nos glaviots se faisaient plus rares et moins gras, nous nous sommes rendus à la Cigale pour le concert des Fatals Picards.
J’avais une place pour Jopo, mais hélas, celui-ci n’ayant pu venir, je l’échangeai astucieusement contre une jeune fille de 22 ans fan de Beyonce et du Roi Soleil. Je suis toujours prête à faire l’éducation musicale des âmes perdues, et en plus, elle a un appareil photo qui fait des super vidéos, c’était donc pas complètement désintéressé.
Ce concert était proprement ébouriffant, on a beaucoup transpiré, on a laissé deux slammers s’écraser par terre, et donné plein de coups de coude. C’était très rigolo.
J’avais peur que ma jeune amie ne fasse un choc anaphylactique devant ce genre de spectacle, mais finalement non, elle a adoré. Mon Bob l’éponge était en transe, il a dansé et chanté comme un perdu, et quand j’y repense, moi aussi.
Le concert a duré près de deux heures, avec essentiellement du Pamplemousse Mécanique (même Punk à chien !), mais aussi un peu de l’ami Rémi, des rappels sans fin, Chasse, pêche et biture, Goldorak est mort, A l’enterrement de Derrick, Caste atroce, Schizophrène, Dors mon fils, pis un medley de Qu’est-ce qui nous prouve, J’fais du bruit, Public...
Vers la fin est arrivé Didier Wampas, le vieux qui saute, et c’était bien sympa tout ce bordel. Lui, quand il a volé dans la fosse, on l’a pas laissé tomber, d’une part parce qu’il est léger, d’autre part parce que c’est moi (entre autres) qui étais dessous et que c’est pas tous les jours que j’ai la joue collée sur le torse dégoulinant et musclé comme un cure-dents d’un artiste.
En novembre, nous risquons donc d’aller voir l’intégrale de Gundur et le dauphin magique au Lavoir Moderne, primo parce que si on y va pas, je pense que Bob l'éponge me quitte et secundo parce qu'Ivan quitte le groupe, et que Gundur partira avec lui... Ca serait donc un peu con de rater le dernier Gundur de l'Histoire du Monde.
Bon, on va pas se laisser abattre, et on va mettre quelques photos, faites avec mon talent habituel, pour Jopo.
Mon bien-aimé s’étant absenté pour descendre les poubelles (opération qui lui prend au bas mot 45 minutes, sachant que le local prévu à cet effet lui rappelle invariablement qu’il a pas dit bonjour au patron du bar d’en bas aujourd’hui), j’en profite donc pour écrire 3 mots que vous apprécierez à leur juste valeur.
Ma vie sociale a été réduite à néant par une bronchite qui m’a fait glavioter vert pendant 1 mois, et, comme j’ai contaminé mon Bob l’éponge adoré, nous avons glavioté vert en choeur, c’était romantique, ça nous a beaucoup rapprochés.
Mercredi soir, comme nos glaviots se faisaient plus rares et moins gras, nous nous sommes rendus à la Cigale pour le concert des Fatals Picards.
J’avais une place pour Jopo, mais hélas, celui-ci n’ayant pu venir, je l’échangeai astucieusement contre une jeune fille de 22 ans fan de Beyonce et du Roi Soleil. Je suis toujours prête à faire l’éducation musicale des âmes perdues, et en plus, elle a un appareil photo qui fait des super vidéos, c’était donc pas complètement désintéressé.
Ce concert était proprement ébouriffant, on a beaucoup transpiré, on a laissé deux slammers s’écraser par terre, et donné plein de coups de coude. C’était très rigolo.
J’avais peur que ma jeune amie ne fasse un choc anaphylactique devant ce genre de spectacle, mais finalement non, elle a adoré. Mon Bob l’éponge était en transe, il a dansé et chanté comme un perdu, et quand j’y repense, moi aussi.
Le concert a duré près de deux heures, avec essentiellement du Pamplemousse Mécanique (même Punk à chien !), mais aussi un peu de l’ami Rémi, des rappels sans fin, Chasse, pêche et biture, Goldorak est mort, A l’enterrement de Derrick, Caste atroce, Schizophrène, Dors mon fils, pis un medley de Qu’est-ce qui nous prouve, J’fais du bruit, Public...
Vers la fin est arrivé Didier Wampas, le vieux qui saute, et c’était bien sympa tout ce bordel. Lui, quand il a volé dans la fosse, on l’a pas laissé tomber, d’une part parce qu’il est léger, d’autre part parce que c’est moi (entre autres) qui étais dessous et que c’est pas tous les jours que j’ai la joue collée sur le torse dégoulinant et musclé comme un cure-dents d’un artiste.
En novembre, nous risquons donc d’aller voir l’intégrale de Gundur et le dauphin magique au Lavoir Moderne, primo parce que si on y va pas, je pense que Bob l'éponge me quitte et secundo parce qu'Ivan quitte le groupe, et que Gundur partira avec lui... Ca serait donc un peu con de rater le dernier Gundur de l'Histoire du Monde.
Bon, on va pas se laisser abattre, et on va mettre quelques photos, faites avec mon talent habituel, pour Jopo.
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